Naxx -Aile de la peste Boss 1-

Noth le Porte-Peste :


En bref :

Noth le Porte-Peste est la première rencontre de l’aile araignée. C’est un combat très simple, en 2 phases : l’une dédiée au focus de Noth et à l’offtank de quelques adds, puis l’autre où Noth disparait, laissant le temps au raid de tuer les monstres offtankés. Pour compliquer un peu la chose, Noth pose régulièrement des malédictions et des débuffs magiques qu’il faudra dispell / décurse.


En détails :

Composition du raid : 1 MT, 1 OT, 2-3 healers, 5-6 DPS. Veillez à ce que le groupe dispose d’un décurse et d’un dispell.

Points de vie : 2.789.000.


Capacités :

Noth invoque 3 types d’adds tout au long du combat, et dispose en lui-même de 2 débuffs :

- Guerrier pestiféré : 104.000 PV et Cleave

- Gardien pestiféré : 52.130 PV, Blink et AoE arcane

- Champion pestiféré : 104.000 PV, Frappe mortelle et Volée de traits de l’ombre

- Faiblesse : Débuff magique durant 10 secondes, à retirer sur les CaC

- Malédiction du Porte-Peste : Malédiction durant 10 secondes, à décurse dès l’apparition car si elle ne l’est pas, se transforme en Courroux du Porte-Peste, DoT non retirable infligeant de lourds dégats d’ombre.


Déroulement du combat :

Le MT fonce sur Noth et le tank au milieu de la salle. Tout le monde DPS un maximum le plus tôt possible. Les adds apparaitront à droite de la salle, en haut et en bas, sur les 2 tas d’os. L’offtank se chargera de les prendre en aggro a chacune de leurs apparition et montera sa menace au maximum dessus. Dès la disparition de Noth (Phase 2), les DPS passent sur les adds, le but étant de les tuer avant le retour du boss. (Phase 1)

En Phase 1, il est très important d’avoir un décurse malédiction et un dispell magique efficace afin d’augmenter le DPS CaC et d’éviter l’apparition du Courroux du Porte-Peste, un DoT assez violent qu’il n’est pas possible d’enlever.

A retenir :

- Ordre de Focus des adds : Gardien pestiféré > Champion pestiféré > Guerrier pestiféré.

- La malédiction. C’est le seul point « délicat » du combat, le reste est d’une trivialité ahurissante.